Le Bio
Le goût véritable
Véritable acte écologique,
c’est à la fois un acte politique
et un ravissement pour les papilles.
Bref, c’est le meilleur de la nature.
Pourquoi manger bio ?
Les pesticides à base de glyphosate, tels le RoundUp (herbicide le plus utlilisé au monde),
sont responsables de dégénérescences cellulaires, c’est un fait.
En effet, l’étude réalisée sur 2 ans sur les rats par les chercheurs de l’équipe du Pr. Gilles-Eric Séralini de l’Université de Caen, soutenus par le CRIIGEN, a pu démontrer que cela engendrait de très importantes tumeurs mammaires chez les femelles, des taux de mortalité bien plus élevés et rapides sur les 2 sexes, ainsi que de graves troubles rénaux chez les mâles.
Le lien entre graves maladies chroniques et RoundUp est donc facile à faire...
Les lobbys producteurs de semences OGM et créateurs d’herbicides de type Monsanto (Bayer, désormais), sont très influents tant au niveau politique qu’au niveau sanitaire. Les conflits d’intérêts sont nombreux et engendrent des absurdités, telles que l’accréditation sanitaire de la mise sur marché de leurs propres produits. Les règles de contrôles imposées pour ces produits sont ridicules car ils sont testées sur une durée de 90 jours. Mais ce n’est qu’à partir de 90 jours que les effets négatifs apparaissent...
Quelle alternative ?
La solution multiple est le bio.
Bon pour l’environnement
- les sols sont entretenus et respectés
- les abeilles, papillons et autres acteurs de la bonne santé de l’environnement sont favorisés.
- les produits sont sains.
Bon tout simplement
Clairement, les aliments sont beaucoup plus goûtus.
Attention je ne vous parle pas des filières Carrefour ou autres monstres de la distribution, où les fruits et légumes du Congo mûrissent dans des cargos, mais du petit revendeur bio.
Un acte politique
Acheter bio c’est entrer dans le cercle vertueux : En achetant bio on favorise l’agriculture bio, les agriculteurs sont valorisés, on pousse le marché à s’intéresser plus au bio, on crée donc une solution alternative.
Je m’explique :
On crée une demande, "bio", ce qui engendre une offre "bio" pour satisfaire le marché => donc, plus on consomme bio, plus on modifie le marché et le force à s’adapter à nos souhaits, et non l’inverse.
Ce principe fonctionne pour tous les domaines. En effet, on n’est pas victime du marché mais pleinement acteur.
Donc chacun de sa petite initiative fait fonctionner le marché dans un sens ou dans un autre.
Pour preuve : maintenant même la grande distribution en propose !